Résidence d’Élodie Kondracki

Du 6 au 26 février 2023

Diplômée des Beaux-Arts d’Angers en 2004, Élodie Kondracki élabore une pratique majoritairement en volume, et porte un regard réflexif sur ses propres conditions de production. Inscrite en 2020/2021 au D.I.U ArTec (Université Paris Lumières), elle élabore actuellement un projet en recherche-création ayant pour objectif de repenser le concept de milieu en art à travers une actualisation de la pratique de l’installation In Situ.

Pour en voir davantage sur son travail, c’est ici

VERNISSAGE DE FIN
DE RÉSIDENCE

Elodie Kondracki

Vendredi 24 février
de 18 h à 20 h 30

Le Studio du Bas



Résidence de Caroline Thiery

Du 14 mars au 10 avril

« Je porte un regard curieux et sincère sur les détails de mon environnement physique et mental. Cela va d’une fixette sur une photographie trouvée au cours d’une promenade dans les profondeurs de l’Internet, à une obsession pour la mascotte d’une boutique anglaise vendant des hot-dogs. Mes procédés de création vont découler de ce qui me fascine dans cette rencontre avec des objets culturels populaires, en apparence assez futils.

A travers un travail de peinture,de dessin, de sculpture et d’écriture, j’amène une réflexion sur le rapport entre un objet et ses représentations, en cherchant à traduire/prolonger la matérialité d’un objet en le faisant dialoguer d’un médium à l’autre, en me donnant à des jeux de décontextualisation et de recontextualisation. Les choix esthétiques que je fais dans mon travail sont proches de ma sensibilité à ces sujets culturels. On retrouve généralement dans mes pièces cet aspect pêle-mêle et spontané qui m’anime dans mon appréhension quotidienne des différentes sphères du réel avec lesquelles je jongle.

Je cherche à flouter le positionnement des objets culturels que je m’approprie dans mes pièces, tout en cherchant à placer mes œuvres dans des lieux et rencontres divers, les faisant balancer de sphères appartenant à des imaginaires individuels à des idéaux ou clichés appartenant à l’imaginaire collectif.  » – Caroline Thiery

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